Comme une envie de libertinage... partie 3

{ Précédemment }

Je pense d'abord que vous voulez marcher un peu... que je peux être naïve parfois...

Nous arrivons dans la partie coquine du club. Vous m'entrenez vers la chambre avec des trous dans la cloison. Il y a quatre personnes à l'intérieur, les quatre qui se papouillaient devant le bar quelques minutes auparavant. C'est un peu pèle-mèle là-dedans et j'ose à peine regarder... pourtant ma curiosité est grande, mais ma peur d'être aperçue l'est plus encore... oui, je sais, c'est idiot dans un lieu pareil et s'ils n'avaient pas voulu être vu, ils ne seraient pas allés galipetter dans cette chambre là !

Nous regardons quelques instants puis reprenons le couloir. Nous marchons à la décourverte des chambres mais également pour voir s'il n'y a pas d'autres couples en galipettation. Il n'y a qu'eux quatre...

Vous vous arrêtez en chemin et me plaquez contre le mur de l'entrée d'une chambre à rideaux. Vous faites remonter l'une de vos mains le long de ma cuisse tout en me maintenant de l'autre. Vous me caressez, me pénétrez de vos doigts. J'ose à peine gémir. Mes yeux s'exorbitent de surprise et de peur à chaque sensation. je cherche à percevoir des bruits de pas et cela vous amuse beaucoup. Vous me lachez aussi soudainement que vous m'avez plaqué contre ce mur. Vous m'entrenez à nouveau dans le couloir et me stoppez contre le battant d'une des chambres entièrement closes. Vous m'embrassez avec fougue tout en malaxant un sein. Je garde les yeux ouvert, regarde derrière vous... j'ai peur d'être vu... je n'ai pas l'habitude...

Et soudain, vous me poussez dans la chambre, me retournez sur le lit et me pénétrez sans ménagement. Vous attrapez un préservatif que vous enfilez sur deux de vos doigts et me prennez le petit trou. Je n'ose pas trop me refuser de peur qu'on nous entende. Je ne sais pas si nous avons le droit de faire du bruit alors je me concentre... et puis, j'ai peur que mes bas files, que mes jaretelles lachent, etc... Je n'arrive pas à être à ce que nous faisons... et puis, tout change. Votre doigt me fait de l'effet (même si je n'aime pas trop avec un préservatif), votre queue me prend fort et j'imagine être dans un donjon, forcée, obligée... et la juissance approche... je n'en peux plus... NON MAÎTRE !!!!!

Vous vous êtes retiré sans jouir... Je me sens humiliée... mais c'est ce que je cherche Maître... nous le savons... Pas l'humiliation gratuite, celle que je n'aime pas, mais celle qui provoque la frustration, l'envie de plus... vous m'avez un peu détendue, déstressée... Vous m'attrapez les cheveux et me pénétrez de force la bouche. Mmmmm... Moi qui avait encore tant de mal l'année dernière aujourd'hui c'est ce dont j'ai le plus envie quand je pense à vous.

Vous finissez par me repousser et à vous rhabiller. Je sors de cette chanbre un peu échevelée, mais un peu plus à l'aise.