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Comme une envie
11 décembre 2007

Comme une envie de défi... le devoir 3ème partie

Voir l'intitulé du devoir ici

{Précédemment}

Me voilà bâillonnée, attachée et... paniquée !!!!!

A peine immobilisée que déjà la soumise prend mon téton gauche entre ses dents. Elle le fait rouler, le mordille, le suce... Je cherche à me débattre, à crier... Qu'elle me laisse bon sang !!!! Elle entreprend alors le droit et je commence à perdre le contrôle. Sa main glisse à nouveau vers mon clitoris et s'en empare fermement. Elle le torture comme si elle souhaitait se venger de ce qu'elle endure habituellement.

Je sens mon sexe qui coule de plus en plus. Je sens les spasmes de mon plaisir de plus en plus puissants. Je ne veux pas me lâcher... J'attend ses doigts en moi... Ils me prennent avec lenteur, douceur... Des frissons me parcours ! Elle entre... elle sort... elle fait tourner ses doigts en moi et je remue sur la banquette... elle se retire et ne revient pas. Au bout de quelques secondes, je sens qu'elle mouille l'entrée de mon petit trou. J'ai peur. Je n'aime pas qu'on y touche. Son doigt est alors remplacé par un plug gonflable qui force le passage et y trouve une place bien au chaud... Oh comme j'aimerai le retirer... J'en pleurerai...

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C'est à ce moment que la voiture s'arrête. 2 portières s'ouvrent et se ferment. Je sens l'angoisse monter. Ma portière s'ouvre également. Je sens un souffle contre ma joue. Il me susurre des mots crus tout en me détachant. Il me rattache les mains dans le dos, me laisse mon bâillon et mon foulard en me disant que c'est comme ça que je passerai devant la réceptionniste de l'hôtel et que ça m'apprendra à ne pas être sage. J'angoisse, cherche à me soustraire mais un claque sur les fesses me rappelle à l'ordre...

J'avance avec l'aide des 2 Maîtres. Je sens ma cyprine couler le long de mes jambes. Je ne pense qu'à ça. J'ai honte et cette honte me fait couler davantage... un cercle vicieux...

On me fait entrer dans ce qui doit être le hall de l'hôtel. On me fait mettre à genoux devant la réception le temps de régler les détails administratifs puis on me relève, non sans avoir vérifier que le plug était toujours en place et le gonfler un peu plus. Je me tord, me relève avec difficulté... Mes jambes ne sont que coton, ma bouche me tire, mon sexe coule et mon cul chauffe...

Nous arrivons à la chambre. On gonfle nouveau le plug.

Visiblement l'hôtel devait être prévu pour nos jeux car après m'avoir fait mettre à 4 pattes et écarter les jambes, on m'attache au sol les poignets, les chevilles et la taille. Tout cela dans un silence angoissant...

Mon Maître détache mon bâillon en me menaçant des pires sévices (est-ce possible de faire pire ?) si je proteste encore. Je n'en peux plus... Je veux qu'ils arrêtent ce supplice... Chaque frolement se transforme en spasme. Je brûle, je me consume...

Le baillon retiré, j'espère pouvoir enfin respirer, mais une bouche se pose sur la mienne et une langue remplis l'espace laissé vide. J'en suis tellement surprise que je ne remarque pas immédiatement que l'on me retire le plug. Par contre, je ne peux que remarquer le sexe qui le remplace en me fendant les reins. Alors que je m'apprête à hurler, un autre sexe me bâillonne remplaçant ainsi la langue qui m'avait goûtée juste avant...

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"Suce ! Suce mon Maître ! Montre comme tu es une bonne chienne ! Fais le venir ! Si tu ne le fais pas, c'est moi qui le ferais venir et tu devras me lécher jusqu'à la dernière goutte !"

Son Maître ???? J'en ai des hauts-le-coeur !!!!

Je n'en peux plus. Je ne pense même plus. Je ne suis plus là. Je ne remarque même pas qu'elle commence à me lécher la vulve et le clitoris pendant que les Maîtres font leurs petites affaires.

Heureusement que je suis maintenue parce que sinon je m'effondrerai... Je n'en peux plus... Un spasme plus puissant me fait éjaculer. Elle, elle récupère tout. Elle s'abreuve à ma source, avide, envieuse... Eux, se vident à leur tour: mon Maître dans ma bouche (et oui, c'était un leurre ! C'était mon Maître et non l'autre !) et l'autre Maître, après s'être retiré de mon cul, dans celle de sa soumise.

Mon Maître, fier, me détache, me caresse, me flatte.

"Tu es une bonne petite chienne... Je t'aime"

Il me prend dans ses bras, me dépose dans le lit où je m'endors, épuisée mais heureuse.

Il me rejoindra après avoir salué nos hôtes que je n'aurai finalement jamais vu et nous dormirons l'un contre l'autre comme un couple "normal".

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Commentaires
L
Tu as raison, j'aurais peut-être dû mettre "comme un couple vanille" parce que je préfère largement le chocolat... ^_^
B
J'aime bien : "nous dormirons l'un contre l'autre comme un couple normal" !! Pourquoi ? Le couple de l'histoire n'est pas normal ? *éclate de rire*
L
J'avais bien compris, rassure toi! ^_^<br /> Merci pour tes commentaires, cela me fait toujours plaisir !
J
ah bon, tu me rassures!! je me disais bien aussi...cela dit, dans le "feu" de l'action, il y a de quoi perdre tout ses repères...je disais ça pour te taquiner...
L
Merci. Je suis touchée par vos mots.<br /> Vous savez, je n'ai nullement la prétention d'être écrivaine et je me satisfait déjà du fait qu'on me lise. Alors, quand on complimente mes écrits et bien, je rougis comme une petite fille... ^_^
Comme une envie
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