Comme une envie... de cris et chuchottements... dernière partie
...vous l'avez fait. Vous m'avez embrassée, détachée et embrassée à nouveau. Vous m'avez caressée aussi, mais vous aviez oublié que cela me faisait repartir ! Vous avez été obligé de me faire revenir à votre manière, en me bloquant la respiration 8 à 10 secondes.
Ensuite, il y avait cette flaque... ou plutôt, ces flaques : une sur la balancelle, une sur le sol. Ma robe était elle aussi trempée et comme d'habitude, j'avais oublié de prendre une tenue de rechange. Dur retour à la réalité...
Dans la salle d'à côté Maître T avait repris ses jeux avec sa soumise. Elle était attachée à la croix de Saint André et subissait les doigts qui la caressaient puis les coups de fouets et ainsi de suite. Après quelques minutes, le Maître détache sa soumise, va chercher un préservatif, l'enfile sur le gode intégré à une sorte de petit cheval d'arçon et ordonne à ma collègue de s'empaler dessus. Elle refuse d'abord, gênée par les regards des gens, mais elle finit par exécuter de mauvaise grâce l'ordre donné. Son Maître lui attrape les poignets et les attache en l'air. Les coups recommencent à pleuvoir. Les caresses aussi. Puis les coups, à nouveau... La pauvre me dis-je.
A peine me suis-je dit cela que vous m'ordonnez d'aller la faire jouir. Ah non Maître ! Pas ça ! Je ne suis pas bi. Je ne veux pas toucher une femme... Mince, je suis soumise, je me dois d'obéir, surtout dans ce lieu où les réputations peuvent se défaire comme elles se sont faites et je refuse de vous faire honte. Je m'exécute donc. Je m'accroupie et commence à caresser le sexe déjà bien trempé de ma compagne de soumission toujours bien empalé. Je titille son bouton, ses tétons. Et puis, son Maître me tend un petit vibro doré. Oh il me sauve ! C'est bien plus facile comme ça. Et là, vous partez. Vous nous laissez seules, vous et Maître T, avec la consigne de faire jouir ma collègue. Grrr !
Ben, tant qu'à faire, je vais la faire jouir. Cela m'excite quand même un peu. Et puis, il me semble bien qu'elle m'a léchée tout à l'heure... Je m'applique donc, elle qui n'est pas très expressive quant à la souffrance, je vais la faire s'exprimer sur son plaisir. Et, j'y arrive ! Elle n'en peut plus. Elle halète, cri. Vous m'avez dit plus tard que vous l'aviez entendue de l'extérieur tandis que vous fumiez vos cigarettes. Je m'arrête, lui demande si elle va bien et jette un coup d'oeil en dehors de la salle. Personne. Je ne sais pas à ce moment où vous êtes. Un autre Dom me dit que vous êtes dehors et que vous n'allez pas tarder. Je m'assois aux côtés de la soumise en me demandant si je devais la détacher. Je n'en ai rien fait. Ce que je ne savais pas, c'était que le Dom à qui j'avais parlé était allé vous chercher.
Vous arrivez, le sourire en coin. Grrrrr ! Je n'aime pas ce sourire, il n'augure rien de bon. Vous vous dirigez vers moi et me faites lever. Votre main vient à la rencontre de mon sexe trempé. Ah la salope, direz vous ! Pfff... m'enfin !!!! ^_^
La soumise a été détachée et s'est habillée . La soirée avait été longue et la fatigue se faisait lourdement sentir alors, nous avons pris congé.
Merci Maître !